2024-127. D’un très beau dessin que nous avons reçu et qui illustre admirablement les principales dévotions de notre Mesnil-Marie.
17 juin,
Au Mesnil-Marie, fête (transférée) de Sainte Lutgarde de Tongres, vierge ;
Mémoire de Saint Grégoire Barbarigo, évêque et confesseur ;
Anniversaire du martyre de l’abbé Jean-Baptiste Abeillon (cf. > ici).
Chers Amis du Refuge Notre-Dame de Compassion,
Laissez-moi aujourd’hui vous présenter un cadeau qui nous a été fait par l’un de nos amis : cela a été une surprise pour Frère Maximilien-Marie, qui l’a reçu vendredi dernier, 14 juin, par la Poste. Avec quelques reliques de Bienheureux, destinées à notre chapelle, il y avait ce dessin original dont vous avez la photographie ci-dessus : l’ensemble a constitué une très belle surprise pour notre Frère, qui ne s’y attendait absolument pas, et dont je puis vous témoigner de la joie en ouvrant ce paquet.
Que l’ami de notre Mesnil-Marie qui a eu cette délicate attention, et qui se reconnaîtra, soit ici publiquement et chaleureusement remercié !
Notre ami M. a fait représenter par un talentueux dessinateur de sa connaissance, une sorte de synthèse des principales dévotions (mais pas toutes !) qui se trouvent mises en valeur en notre Mesnil-Marie, à la manière d’un splendide autel baroque, tel que nous les aimons : les belles proportions de l’ensemble et la fine précisions des détails nous ont enchantés.
Nous serions évidemment plus que très heureux si nous avions ici une chapelle avec un tel autel !
Ce dessin a été réalisé sur une feuille à dessin de 33 cm de largeur sur 24 cm de hauteur, et j’ai résolu d’en isoler pour vous quelques détails. Voici tout d’abord l’autel lui-même avec son tabernacle monumental.
Puis – du premier coup d’œil, je n’en doute pas -, vous avez identifié, dominant l’ensemble, au centre, et en arrière de la croix d’autel qui est, elle et elle seule, posée sur le saint tabernacle, la statue de Notre-Dame de Compassion, notre céleste protectrice, avec les sept glaives symbolisant ses douleurs.
Sur les gradins supérieurs de l’autel sont placés les bustes des saints patrons en second du Refuge Notre-Dame de Compassion : notre très chère Sainte Philomène, notre intercessrice de prédilection, et Saint Gabriel dell’Addolorata (cf. > ici), modèle de la dévotion aux douleurs de la Mère de Dieu.
Enfin deux grandes statues en pied encadrent l’autel représentant, du côté de l’épître, notre Bienheureux Père Saint Augustin – dont nous suivons la Règle -, et du côté de l’Evangile, Saint Maximilien-Marie Kolbe, premier des saints patrons de profession religieuse de mon papa-moine.
Voilà donc, chers Amis, une brève présentation de ce dessin qui nous enchante, et qui nous fait rêver d’avoir un jour une chapelle où un semblable autel de marbres variés et de bronzes pourrait trouver sa réalisation, pour la plus grande gloire de Dieu et la sublimation de notre chère et sublime liturgie traditionnelle…
Vous pouvez laisser une réponse.
Statue de Notre-Dame de Compassion : DERRIERE et non SUR le tabernacle, ce qui ne serait pas liturgique. D’ailleurs, on la voit bien placée derrière le crucifix qui est seul sur le tabernacle.
Etrange seulement de ne pas avoir représenté N.D. des 7 Douleurs en Pietà avec son Fils dans les bras… D’autant que vous n’en manquez pas.
A quand la réception par colis de l’autel promis à vos rêves ?…
Belle illustration! Bravo à l’artiste et à son commanditaire.