2024-114. « Ils ont osé toucher à Notre-Dame des Victoires, ils n’iront pas plus loin !»

Lettre mensuelle de la Confrérie Royale

- 25 mai 2024 -

 Blason Confrérie Royale petite taille

« Ils ont osé toucher à Notre-Dame des Victoires,

ils n’iront pas plus loin ! »

       1871 : Après la chute du second empire (4 septembre 1870), après quatre mois de siège (20 septembre 1870 – 28 janvier 1871), de bombardements, de privations et de souffrances, après une humiliante capitulation, après des élections qui laissent le peuple – travaillé en sous-main par des courants de pensée d’extrême-gauche – dans une profonde insatisfaction, commencent, le 18 mars, les 72 jours de l’insurrection parisienne demeurée dans l’histoire comme « la Commune ».

   Cet épisode, au sujet duquel on a déjà beaucoup écrit et discouru et sur lequel il y aurait encore beaucoup à dire et à écrire, est, du point de vue de l’Eglise, celui d’une véritable persécution qui aura ses martyrs (voir > ici) et qui verra se reproduire des scènes épouvantables de pillage et de destruction telles qu’on en avait vu lors de la grande révolution de 1789.

   La haine agissante d’une minorité violente d’idéologues qui se revendiquent des jacobins et montagnards de 1793 va donc se déchaîner : le 28 mars, le drapeau rouge est adopté et le calendrier républicain est remis en vigueur (c’est l’an 79 de la république !) ; le concordat est aboli le 2 avril, et la séparation de l’Eglise et de l’Etat est instaurée ; le budget des cultes supprimé, les biens des congrégations religieuses sont sécularisés. L’archevêque de Paris, Monseigneur Georges Darboy, est arrêté dans la foulée.

   Des perquisitions ont lieu dans les sacristies et les couvents : ciboires, calices, patènes et ostensoirs sont saisis s’ils ont quelque valeur marchande. Dans les écoles, les religieux et religieuses sont remplacés au pied levé par des instituteurs improvisés qui, parfois, savent à peine lire et sont incapables d’enseigner quoi que ce soit, au grand dam des parents d’élèves qui, même dans les faubourgs, tiennent à ce que leurs enfants bénéficient d’une scolarité solide et d’une bonne formation morale. A Reuilly, la grogne des ouvriers ira jusqu’au dépôt d’une plainte contre les nouvelles « maîtresses », soupçonnées d’être des femmes « de mauvaise vie » auxquelles ils refusent de confier leurs filles !

   Pour continuer à exercer leur ministère, de plus en plus clandestin parce que les autorisations pour les cérémonies du culte sont parcimonieuses, les prêtres doivent quitter la soutane et s’habiller avec des habits civils. Les religieuses, y compris les Sœurs de la Charité – pourtant reconnues d’utilité publique et, à ce titre, relativement protégées – doivent déposer l’habit religieux.
Nombre d’églises sont fermées, dans le meilleur des cas, parce que beaucoup vont être profanées, affectées à des usages profanes, transformées en ateliers ou en lieux de détention, voire encore en clubs politiques. 
Dans certaines, où le culte a été autorisé, mais seulement à certaines heures, on a vu se succéder en chaire prédicateurs de carême et tribuns révolutionnaires.

Une séance du Club des femmes dans l'église Saint-Germain l'Auxerrois - le Monde illustré

Une séance du Club des femmes dans l’église Saint-Germain l’Auxerrois
(gravure publiée dans « Le monde illustré »)

   Les Communards vont donner dans la surenchère : un grand rassemblement maçonnique a lieu devant l’église Sainte-Geneviève – à nouveau transformée en Panthéon – et l’apothéose de cette manifestation constitue à mutiler la croix.
Puis on déclenche une vaste campagne de presse contre le clergé.

   Le 26 avril, Le Cri du peuple publie un invraisemblable article, fruit d’une prétendue « enquête », que l’on feint de prendre au sérieux : cette feuille publie que l’on aurait découvert, dans les très vastes cryptes de l’église Saint-Laurent, les corps horriblement torturés de jeunes femmes enchaînées, « mortes de faim » dans ces « souterrains » ; ces malheureuses auraient servi d’esclaves sexuelles au clergé. A en croire ces journalistes, elles ne seraient pas les seules : des fouilles dans les églises parisiennes permettraient de mettre au jour des dizaines d’autres victimes d’une pratique qui durerait depuis longtemps.
Certains vont se mettre en quête de restes humains susceptibles d’étayer les accusations : ce n’est pas très difficile puisque jusque dans les années 1780, il était habituel d’enterrer notables et bienfaiteurs sous les dalles de leur église paroissiale ; et, même si, pour raisons d’hygiène, Louis XVI a fait interdire cette pratique, quelques dérogations ont été accordées au cours du XIXème siècle lorsqu’il s’agissait de personnalités.

   Les Communards vont se souvenir, en particulier, que cette dérogation a été accordée onze ans plus tôt en faveur de l’abbé Charles-Eléonore Dufriche-Desgenettes (+ 25 avril 1860), curé de Notre-Dame des Victoires, fondateur de l’archiconfrérie de prières au Très Saint et Immaculé Cœur de Marie Refuge des pécheurs devenue mondialement célèbre : ils iront donc profaner sa sépulture au pied de l’autel de la Vierge, promener la tête du vénérable prêtre sur une pique, traîner sa dépouille sur la place publique, et finalement la jeter à la voierie.

   Avec ces exhumations, se multiplient les attaques à l’encontre du célibat sacerdotal, présenté comme la couverture de toutes les dépravations hypocrites. La technique n’est pas neuve : elle a déjà servi, elle sert toujours, et elle servira encore chaque fois que l’on voudra saper l’Eglise. 

Abbé Charles-Eléonore Dufriche-Desgenettes

Portrait de l’abbé Charles-Eléonore Dufriche-Desgenettes (1778-1860)

   A la suite de l’arrestation de Monseigneur Darboy, incarcéré à la prison de Mazas en compagnie de son vicaire général, Monseigneur Surat, et du promoteur diocésain, l’abbé Baye, les Communards réaliseront, selon l’expression de l’un d’eux, une « razzia de soutanes ».
Sont ainsi faits prisonniers à leur tour le curé de la Madeleine, le vieil abbé Gaspard Duguerry, des pères jésuites de la rue de Sèvres et de l’école Sainte-Geneviève, douze prêtres de la Congrégation des Sacrés Cœurs de Jésus et Marie, dits Picpuciens, les curés de Saint-Eustache et de Saint-Séverin, le supérieur du séminaire Saint-Sulpice, Monsieur Icard, vite rejoint par sept de ses séminaristes qui avaient eu la naïveté d’aller, en soutane, réclamer à l’Hôtel de Ville des laisser-passer pour rentrer dans leurs provinces… Bref, ce sont bientôt, trois cents ecclésiastiques qui s’entassent dans les prisons parisiennes, et quelques dizaines de religieuses, dont les religieuses de l’Adoration de Picpus.

    Tous ces otages étaient supposés constituer une monnaie d’échange mais, en réalité, ils ne représentaient absolument rien aux yeux du pouvoir versaillais, aussi anticlérical que les Communards. La preuve ? Une fois redevenus maîtres de la capitale et de la France, il ne faudra que quelques années aux républicains du « Parti de l’ordre » pour reprendre à son compte le programme anti-chrétien de la Commune.
Ainsi, laisser les Communards assassiner leurs prisonniers ecclésiastiques, ce sera faire d’une pierre deux coups : d’une part se débarrasser de quelques curés, et d’autre part avoir les coudées franches pour une répression impitoyable avec l’approbation de la majorité de l’opinion publique en France.
Le secrétaire de Thiers, Saint-Hilaire, résumant l’opinion de son patron, avait répondu à ceux qui s’inquiétaient du refus des Versaillais d’échanger soixante-quatorze otages, dont l’archevêque, contre le leader révolutionnaire Blanqui : « Les otages ? Tant pis pour eux ! » N’ayons pas peur des mots : politiquement, leur mort était plutôt une « bonne affaire ».

Louis XIII présente à Marie les plans de N.D. des Victoires

Car van Loo : la dédicace de l’église des Augustins à Notre-Dame des Victoires
par Sa Majesté le Roi Louis XIII

   Fondée en 1629 par Sa Majesté le Roi Louis XIII (voir > ici), Notre-Dame des Victoires était originellement l’église conventuelle des Augustins déchaussés. C’est là que vécut le Frère Fiacre de Sainte-Marguerite (voir > ici), chargé par la Mère de Dieu de faire connaître à la Reine Anne d’Autriche les moyens spirituels qui lui permettront d’assurer la descendance royale.
Devenue église paroissiale après le concordat, l’église est peu fréquentée : en décembre 1836, l’abbé Dufriche-Desgenettes, mû par une inspiration céleste, y a fondé la confrérie (plus tard érigée en archiconfrérie par le Saint-Siège) de prières au Très Saint et Immaculé Cœur de Marie Refuge des pécheurs, qui a transformé cette église désertée en un lieu très fréquenté où sont obtenues par milliers des grâces de conversion, des grâces de renouveau chrétien, et aussi des grâces temporelles.
Le 17 janvier 1871, l’abbé Laurent Amodru, vicaire à Notre-Dame des Victoires, avait prononcé en chaire un vœu, « inspiré d’En-Haut », pour la fin de la guerre, vœu resté mémorable car il correspondit étrangement à l’apparition de Notre-Dame à Pontmain qui avait lieu dans le même temps (voir > ici).
Autant de raisons pour que le démon suscite dans le cœur de ceux qu’il inspire, une haine particulière pour ce sanctuaire.    

   Le 17 mai 1871, vigile de l’Ascension, alors que le curé, menacé, a pu quitter Paris depuis plusieurs jours déjà, à 16h45, un groupe de Communards pénètre dans l’église : ils pourchassent les fidèles, cherchant à les en expulser ; les quelques paroissiens et dévots de Notre-Dame présents se regroupent alors aux pieds de la statue de la Vierge pour la protéger, déterminés à faire un rempart de leurs corps au péril de leur vie.

   La statue de Notre-Dame des Victoires est en plâtre durci : œuvre d’un sculpteur italien, elle a remplacé en 1809 la statue de Notre-Dame de Savone, vénérée dans cette église sous l’Ancien Régime mais qui a – évidemment – disparu pendant la révolution. Elle est devenue célèbre dans le monde entier depuis l’inspiration accordée à l’abbé Dufriche-Desgenettes lorsqu’il célébrait la messe à cet autel le 3 décembre 1836, et que la confrérie de prières au Très Saint et Immaculé Cœur de Marie Refuge des pécheurs s’est répandue sur tous les continents ; elle a été couronnée le 9 juillet 1853, à la demande du pape Pie IX en action de grâce pour la délivrance de Rome par les soldats français en 1849 : ce fut la première Vierge couronnée en France au nom d’un Pape.
Ce n’est pas un hasard si les Communards veulent la détruire !

Statue de Notre-Dame des Victoires

   L’abbé Laurent Amodru s’interpose. Il s’agenouille aux pieds de Notre-Dame des Victoires en disant : « Vous voyez cette statue, elle est vénérée du monde entier ! Je ne sors pas d’ici que vous ne m’ayez promis de la respecter et de ne pas la briser »Il est aussitôt emmené en prison et comparaîtra devant un « tribunal populaire ».
Quand on lui demandera son identité, il répondra : « Prêtre de Jésus-Christ ». L’un des « juges » improvisés rétorquera : « Non ! Ça, c’est le délit ! »  Ce « mot d’esprit » était un emprunt à Fouquier-Tinville, président du tribunal révolutionnaire pendant la Terreur.

   Finalement, la statue sera sauvée par un israélite alsacien converti au catholicisme : Jacques Libman (1827-1911), auquel nous devons aussi le sauvetage de la Chapelle expiatoire dont la destruction avait été décidée par le « comité de salut public » le 6 mai. Se faisant passer pour un entrepreneur américain désireux de la démonter pour la remonter outre-Atlantique comme attraction touristique, il avait engagé des négociations pour ce supposé rachat : les « transactions » avec le directeur des domaines de la Commune, Jules Fontaine, permirent de retarder cette démolition… Par la suite, Jacques Libman sera l’organisateur tous les ans de la Sainte Messe de Requiem du 21 janvier à la Chapelle Expiatoire.
C’est par une audace du même style qu’il sauva la statue de Notre-Dame des Victoires : après l’arrestation de l’abbé Laurent Amodru, alors que régnait le chaos dans l’église, il s’avança très calmement et déclara avoir acheté la statue, qu’elle était désormais son bien, et qu’ils n’avaient pas le droit de détruire ce qu’il venait d’acheter justement ce jour-là. On voulut l’arrêter lui aussi, mais, jetant un regard glacial sur les Communards, il leur dit de manière péremptoire : « A votre aise. Je vous prierai seulement de respecter la statue de la Vierge. Elle est à moi ; elle m’a été cédée ce matin-même par le citoyen Fontaine, directeur des domaines ». Devant une telle assurance, les Communards reculèrent : la statue était sauvée !

   En 2021, à l’occasion du 150ème anniversaire du sauvetage de la statue, a été remis à l’honneur l’ex-voto qu’offrit plus tard Jacques Libman. Originellement apposé dans l’une des chapelles latérales, il a été désormais fixé à proximité de la statue de la Très Sainte Vierge et porte cette inscription : « Reconnaissance à Marie qui me permit de sauvegarder sa statue vénérée à Notre-Dame des Victoires le 17 mai 1871. J. LIBMAN ».

Ex-voto de Jacques Libman à Notre-Dame des Victoires

   Mais l’église va être saccagée pendant trois jours. Ce fut un pillage sans nom.
Les Communards cherchaient les objets précieux que le curé, avant de fuir, croyait avoir mis à l’abri en les déposant dans le caveau de Jean-Baptiste de Lully, le célèbre surintendant des musiques royales, et de sa famille. Ce caveau se trouvait alors là où est aujourd’hui la chapelle Notre-Dame des Douleurs.
Mais, nous l’avons vu, les insurgés ne respectaient pas les sépultures puisque leurs ossements étaient utilisés à fin de propagande anticléricale : s’il y a autant d’ossements, c’est que le clergé s’est livré à des crimes !
Ouvrant donc le tombeau de la famille Lully, ils poussèrent des cris de joie puisqu’ils y découvrirent les vases sacrés – ciboires, calices et ostensoirs – et des ornements précieux, tels que la couronne offerte par le pape Pie IX en 1853 pour la statue de la Vierge, ainsi que d’autres bijoux offerts pour parer la statue. Tout disparut !
La sacristie fut entièrement pillée. Toutes les chapelles furent dévastées.
Les reliques de Sainte Aurélie – jeune martyre romaine du IIIème siècle, enterrée dans les catacombes de Sainte-Priscille, à Rome, dont le corps fut transféré à Notre-Dame des Victoires par le pape Grégoire XVI en 1843 - renfermées dans un gisant de cire, comme on le faisait à l’époque, furent odieusement profanées : la tête du gisant de cire fut plantée sur une pique fichée en terre devant l’autel saccagé, et les profanateurs invitèrent le « peuple » à contempler la preuve que les prêtres avaient encore tout récemment abusé d’une jeune fille qu’ils avaient ensuite mise à mort.

   Les ossements extraits des tombeaux furent entassés sur le parvis, et certains Communards s’amusèrent avec.
Ce qui put être récupéré des reliques de Sainte Aurélie n’a pas été replacé à l’intérieur d’un gisant de cire, mais déposé dans une châsse qui a été remise sous l’autel de l’archiconfrérie après sa restauration.

Châsse avec les reliques de Sainte Aurélie sous l'autel de Notre-Dame des Victoires

   On le sait, la fin de la Commune est marquée par une série d’incendies (les plus célèbres étant ceux du palais des Tuileries, de la bibliothèque du Louvre, du Palais de Justice – la Sainte Chapelle échappant quasi miraculeusement aux flammes -, du palais d’Orsay et du Palais Royal…) : les Communards prévoyaient aussi de faire sauter Notre-Dame des Victoires le 24 mai et, dans ce but, avaient installé des barils de pétrole dans la cour qui jouxte l’église.
Mais le 21 mai, les troupes versaillaises avaient commencé à entrer dans Paris et, le 24 mai au matin, Notre-Dame des Victoires était libérée.
Comment ne pas y voir un signe, puisque le 24 mai est la fête de Notre-Dame auxiliatrice : Marie, secours des chrétiens !

   L’église de Notre-Dame des Victoires était sauvée, mais elle se trouvait dans un état lamentable, ayant été l’une des églises de Paris les plus saccagées.
Dès le 3 juin, un office de réparation y fut célébré, puis l’église fut rendue à la vie paroissiale et aux dévotions des pèlerins le lendemain. Il faudra cependant plusieurs années pour réparer les dégâts considérables occasionnés lors de la Commune.

   Lorsqu’elle avait appris la profanation de Notre-Dame des Victoires, Sainte Catherine Labouré, très émue, s’était écriée : « Les malheureux ! Ils ont osé toucher à Notre-Dame des Victoires ! Ils n’iront pas plus loin ». Sa prophétie s’était réalisée.
La sainte religieuse qui, dans la nuit du 18 au 19 juillet 1830, était restée pendant un long moment à écouter les confidences de la Très Sainte Mère de Dieu, avait alors entendu l’annonce de ces troubles politiques où l’on se croirait revenu aux plus mauvais jours de la grande révolution…

   L’esprit de la révolution est plus que jamais à l’œuvre en nos temps, et la révolution n’a jamais cessé de persécuter l’Eglise.
Même lorsqu’elle semble plus sage, modérée, et qu’elle se tapit sous les apparences d’une république « tolérante » et « libérale », la révolution poursuit son œuvre de destruction de l’Eglise et de perdition des âmes, en abattant tout ce qui subsiste encore de la pratique de la loi de Dieu et de la loi naturelle inscrite par Dieu dans le tréfonds de toute Sa création.
Souvenons-nous que, malgré les apparences contraires (selon nos vues humaines), Dieu a posé des limites, et que, comme en 1871, après avoir été très patient et supporté beaucoup d’abominations, il y aura un moment où « ils n’iront pas plus loin » !
Alors nous devrons être là, forts – mais plus humbles -, vaillants – mais moins sûrs de nous – et généreux de nos personnes pour œuvrer au « nettoyage » et au « relèvement », dociles instruments de la Vierge des Victoires pour le triomphe du divin Cœur de Jésus par le Cœur douloureux et immaculé de Marie.

Frère Maximilien-Marie du Sacré-Cœur.

Les Cœurs de Jésus et Marie

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5 Commentaires Commenter.

  1. le 27 mai 2024 à 9 h 02 min Adrien D. écrit:

    Après une première digestion je me pose cette question:
    SED UBI EST TERMINUS HODIE?

  2. le 27 mai 2024 à 5 h 26 min Abbé Guy P. écrit:

    Merci, cher ami, d’avoir écrit cet article remarquable.

  3. le 26 mai 2024 à 5 h 12 min Abbé Jean-Louis D. écrit:

    David contre Goliath : le chapelet pour fronde, et l’amour des Saint Cœurs de Jésus et Marie.

  4. le 26 mai 2024 à 0 h 28 min Maillot écrit:

    Le peuple ne supporte pas que l’on soit différent de lui.

  5. le 25 mai 2024 à 22 h 12 min Goës écrit:

    Autre époque, autre méthode : aujourd’hui afin d’arriver à ce qu’ils appellent la république universelle.

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