2014-15. A notre regretté Prince Alphonse.
- 30 janvier 1989 -
Le triste anniversaire de la mort officiellement « accidentelle » de notre regretté Prince Alphonse de Bourbon, de jure Roi Alphonse II de France, est l’occasion de relire certains beaux témoignages qui lui ont été rendus.
Cette publication permettra à nos amis, grâce aux liens que nous plaçons ci-dessous, de s’y reporter :
1) le blogue du Cercle Légitimiste de Lorraine Robert de Baudricourt, reproduit ainsi un témoignage de Monsieur le duc de Baufremont, rédigé à l’occasion du vingtième anniversaire de la mort du Prince, et une lettre-préface de feue Madame la duchesse de Ségovie rédigée quelques semaines après le tragique accident qui causa la mort de son fils. C’est à lire > ici .
La Province Légitimiste de Provence reproduit également cette lettre-préface de Madame la duchesse de Ségovie en publiant en outre un résumé rappelant les circonstances de la mort du Prince, ses funérailles et en publiant la photo de sa sépulture > ici.
2) Le témoignage, déjà ancien, du Baron Pinoteau, intitulé : « Le Prince que j’ai servi », est toujours intéressant à relire > ici.
3) Différent et beaucoup plus court, le texte d’hommage de Jean Raspail peut également être lu > ici.
Monseigneur le Prince Alphonse de Bourbon,
duc d’Anjou et de Cadix (1936 -1989)
4) Et puis il y a ce toujours très émouvant enregistrement de l’oraison funèbre que feu Monsieur l’Abbé Chanut - aumônier du Prince retourné à Dieu l’été dernier – prononça lors de la Sainte Messe de Requiem célébrée en la basilique nécropole royale de Saint-Denys le 9 février 1989, dans laquelle il dévoile le dessein qu’avait formé Monseigneur le Prince Alphonse de consacrer sa personne, sa famille et la France au Sacré-Coeur de Jésus > ici.
Terminons cette évocation dans le recueillement, en nous laissant porter dans la prière de l’introït du « Requiem des Roys de France » d’Eustache du Caurroy (1549-1609) :
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Note : la « Missa pro defunctis » à cinq voix de du Caurroy, composée en 1606, fut chantée aux funérailles de Sa Majesté le Roi Henry IV en 1610, et par la suite, selon le chanoine et musicologue Sébastien de Brossard, elle aurait été interprétée aux funérailles royales au cours des deux siècles qui suivirent, d’où son surnom qui lui est resté attaché.

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L’abîme de mon ignorance se comble petit à petit par la cime de compétence et d’érudition de ce blog.
Rien d’autre à dire que le texte ci-dessus de Céline du 1 février 2015 .
Je le redis : une grande émotion .
Une seule chose : je ferme le site pour prendre mon chapelet en remerciement pour tous les messages laissés à son fils LOUIS, qui prend dignement la relève.
Toujours émue en entendant son nom…
Qu’il porte là-haut le message des croyants et qu’il aide la France Chrétienne à redevenir ce quelle n’aurait jamais dû cesser d’être : la patrie des croyants !