Neuvaine du 6 au 14 septembre, pour préparer la fête de Notre-Dame des Sept Douleurs.
Prière de compassion et de supplication :
V. Ô Dieu, venez à mon aide!
R. Seigneur, hâtez-vous de me secourir!
Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit, comme il était au commencement, maintenant et toujours, et pour les siècles des siècles. Ainsi soit-il!
1. Ô Mère des douleurs, je compatis à la souffrance qui accabla votre coeur très aimant lors de la prophétie du saint vieillard Siméon en laquelle vous fut révélée toute l’ampleur de vos peines à venir : par votre coeur si éprouvé, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce d’adhérer toujours plus parfaitement à la sainte volonté de Dieu.
Ave, Maria, gratia plena… etc.
2. Ô Mère des douleurs, je compatis à l’angoisse qui étreignit votre coeur si sensible lors de la fuite en Egypte et du séjour en ce pays étranger où vous viviez, pauvre et méprisée : par votre coeur anxieux, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce d’un abandon filial et confiant à la divine Providence.
Ave, Maria…
3. Ô Mère des douleurs, je compatis à la peine profonde dont votre coeur soucieux fut saisi lors des trois jours de la perte de votre Enfant à Jérusalem : par votre coeur si inquiet, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce de craindre par dessus tout d’être séparé de l’amour de mon Dieu.
Ave, Maria…
4. Ô Mère des douleurs, je compatis à l’abattement qui s’empara de votre coeur lors de la rencontre avec Jésus portant sa Croix vers le Calvaire : par votre coeur si éprouvé, obtenez-moi, Vierge très aimable, la patience dans les épreuves et la persévérance dans le bien malgré toutes les contradictions.
Ave, Maria…
5. Ô Mère des douleurs, je compatis à la très amère passion que souffrit votre coeur généreux lorsque, debout au pied de la Croix, vous assistiez à l’agonie de Jésus et que vous entendîtes le cri déchirant dans lequel il rendit l’esprit : par votre coeur martyrisé, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce d’une douce compassion aux peines et souffrances de mes frères.
Ave, Maria…
6. Ô Mère des douleurs, je compatis à l’extrême souffrance qui déchira votre coeur maternel lorsque la lance ouvrit le Coeur de Jésus et que son corps pantelant fut déposé sur vos genoux : par votre coeur supplicié , obtenez-moi, Vierge très aimable, de savoir rendre amour pour amour au divin Coeur de votre Fils.
Ave, Maria…
7. Ô Mère des douleurs, je compatis à la poignante tristesse qui submergea votre coeur de flots amers lorsque le corps de Jésus fut déposé dans le sépulcre : par votre coeur transpercé de sept glaives, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce de ne jamais me décourager, quelque importantes que soient les ténèbres et l’adversité.
Ave, Maria…
V. Priez pour nous, Vierge très affligée.
R. Afin que nous soyons dignes des promesses de Jésus-Christ.
Oraison :
Nous vous en prions, Seigneur Jésus-Christ, qu’intercède pour nous auprès de votre clémence, maintenant et à l’heure de notre mort, la Bienheureuse Vierge Marie votre Mère, dont l’âme très sainte fut transpercée d’un glaive de douleur à l’heure de votre Passion. Ô Vous qui vivez et régnez avec le Père, dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu pour les siècles des siècles.
Ainsi soit-il!
(Prière composée par Frère Maximilien-Marie – reproduction autorisée à condition d’en indiquer la source)
On trouvera > ici la présentation du chapelet des Sept Douleurs de Notre-Dame et > ici le « je vous salue » en l’honneur de la Vierge de Compassion.
Vous pouvez laisser une réponse.
Seigneur, qu’intercède pour nous auprès de votre clémence, maintenant et à l’heure de notre mort, la Bienheureuse Vierge Marie. Amen!
Sainte journée avec Notre-Dame des Douleurs.
Merci pour ce rappel.
Belle soirée frère Maximilien-Marie
Merci Cher Frère pour toutes ces magnifiques prières.
Ainsi que pour les belles images les accompagnant.
Tant de prières nous font du bien.
Respectueusement vôtre.
Caresses à notre Lully.
Reine Claude
Un gros merci pour cette belle prière qui me servira de neuvaine pour cette année.
Union de prières à tous.
OUI vraiment, Cher Frère, votre Neuvaine est bien belle, bien pieuse, bien aimante, bien dolente.
Je vais la continuer jusqu’au bout.
Permettez-moi de vous signaler une grâce obtenue par l’intercession du Frère Léopold de Castelnuovo : j’ai trouvé un logement -pas cher- dans le Var, à 10 kms de mes 3 petites-filles, et pourtant j’ai quelquefois sauté un jour !
Il est bien bon Saint Léopold, qu’on se le dise !
Cordial bonsoir.
Merci pour cette très belle prière qui rend grâces à la Très Sainte Mère de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
Merci, Très Cher Frère!
… la grâce de ne jamais me décourager…
Magnifique prière!
Merci, bien cher frère.