2007-13. L’ A-Dieu à un grand combattant.
Jeudi 12 octobre 2007.
Ce que j’ai à vous écrire ce soir, chers Amis du « Mesnil-Marie », est empreint de gravité et de tristesse, parce que Frère Maximilien-Marie, aujourd’hui, s’est rendu à Paris pour assister à la Messe de funérailles de Monsieur Serge de Beketch, qui avait lieu dans l’église Sainte-Odile.
Frère Maximilien-Marie l’avait rencontré à plusieurs reprises, et même il avait été invité dans son émission sur Radio-Courtoisie pour parler du projet de la fondation, il y a déjà plusieurs années de cela.
Pour moi, j’avais seulement entendu sa voix à travers la radio… quand Frère Maximilien-Marie avait le temps de se connecter sur Radio-Courtoisie et d’écouter son libre journal, le mercredi soir ou le jeudi matin.
Même si je ne suis qu’un tout petit chat, je comprenais cependant que Monsieur de Beketch était un lutteur qui, avec truculence parfois, avec humour aussi, avec un vrai talent surtout, soutenait des combats difficiles, pour l’honneur de Dieu, pour la défense des valeurs qui ont fait la Chrétienté, pour soutenir le combat des faibles et de ceux auxquels on ne donne pas la parole… Je pouvais sans peine imaginer que son engagement pour soutenir les droits de la Vérité dans la société de notre temps, lui valaient bien des attaques et des souffrances aussi. J’avais aussi compris que c’était un homme qui avait au coeur une immense capacité de tendresse et de compassion, parce qu’il était profondément sensible et généreux.
C’était important pour notre Frère d’être présent, ce matin, à la Messe célébrée avec beaucoup d’émotion par le Révérend Père Argouarc’h (encore quelqu’un pour lequel Frère Maximilien-Marie a beaucoup d’affection et d’admiration) : au milieu d’une foule immense qui débordait de l’église, il ne s’agissait pour lui de rien d’autre que d’apporter sa prière et son soutien de sympathie à une famille éprouvée par la séparation de la mort. Sa famille selon la chair d’abord bien sûr, et sa famille selon l’esprit : la famille de ceux qui l’écoutaient, qui attendaient ses émissions, et qui trouvaient en elles une force pour soutenir leurs propres combats quotidiens dans un monde qui génère tant de détresses et de désespoirs.
Alors je sais que notre cher Frère a prié de tout son coeur pour que Dieu reçoive Serge de Beketch dans son beau Ciel où il n’y a plus de larmes ni de deuil et où il espère le retrouver un jour…
Lully.
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